Je reviens !

Oui, me revoilà dans votre boîte mail après plusieurs mois d’ »absence ». 6 mois très exactement, comme je le découvre aujourd’hui en vérifiant la date de ma dernière newsletter. Ce n’était pas prémédité. Une semaine, je n’avais pas envie de passer du temps devant mon écran, alors je me suis dit que j’écrirai plus tard. Puis une deuxième, une troisième semaine, etc. sont passées. J’avais toujours envie de faire autre chose, voir du monde, me concentrer sur mes coachings individuels, mes ateliers en présentiel, voyager, passer du temps en famille, prendre soin de ma santé, vivre de nouvelles expériences … Et les mois ont filé. Je ne me l’explique pas. J’en ai juste eu ras-le-bol. Je n’avais plus envie. Je l’ai ressenti comme une allergie temporaire à mon ordinateur. Depuis 5 ans que je vous accompagne sur votre parcours amoureux, je n’avais pas arrêté d’écrire, de poster, d’être présente sur les réseaux sociaux. Sachant que je ne suis pas une influenceuse patentée, que pour moi c’est juste un moyen de créer des liens et de vous faire passer des messages, mais que je sais et préfère le faire dans la « vraie vie ». Pire, je suis le genre de personne qui est capable d’oublier son téléphone à la maison avant de partir 4 jours à Londres (véridique !). Qu’ai-je fait pendant ce temps ? Je n’ai pas disparu, je ne me suis pas arrêtée de vous accompagner, j’ai poursuivi tous mes projets et j’en ai commencé d’autres. Je me suis juste … dispensée de le dire. Pourtant, je me suis culpabilisée de procrastiner ainsi, j’ai eu honte de ne pas tenir un rythme, de vous laisser sans nouvelles, puis de prolonger ce silence incongru. Je me suis aussi demandée comment revenir, et plus j’y ai pensé, plus j’ai retardé l’échéance. J’avoue, j’ai même pensé à revenir comme si de rien n’était, sans me justifier. Mais finalement, j’ai décidé d’assumer. Tout simplement. Oui, je suis comme vous, parfois j’en ai marre, souvent je doute, et je m’inflige la double peine en culpabilisant de ne pas faire ce que je m’étais fixé. Heureusement, je peux m’appliquer à moi-même ce que je transmets en coaching : commencer par être honnête avec moi-même, apprivoiser les périodes creuses, bien m’entourer, respecter mon rythme, accepter que « faire de mon mieux » n’est pas synonyme d’être toujours au top. Puis me ressourcer, retrouver la joie, trouver la bonne énergie … Avant de me remettre en action. L’action, c’est aujourd’hui. Enfin ! Me revoilà donc, avec de nouvelles envies. Je me dis que si j’ai fait un rejet de mon écran, je ne dois pas être la seule. Peut-être avez-vous ressenti la même chose. J’en tiendrai compte dans mon offre et mon accompagnement ces prochains mois. Promis, je vous en dis plus bientôt 😉 #saintvalentin #couple #célibataire #coaching #lovecoaching #vieamoureuse #developpementpersonnel #femmes #puissance #amourdesoi #estimedesoi #confiance #etatdesprit #coachdevie #devperso #epanouissement #bienveillance #rencontre #emotions #coachingdevie #saimer #positivité #etreheureux #intelligenceemotionnelle #romantisme #vieheureuse #cgbb #caproteine #essecalumni

#viedecoach : aimer son corps, c’est pour la vie !

J’aime mon corps. Ah oui… Pas facile d’écrire cette phrase, en toute sincérité 😉 C’est l’un des sujets abordés cette semaine dans mon programme de coaching collectif en ligne « Indépendante ET amoureuse ». Parce qu’il est difficile de se sentir en confiance dans ses relations amoureuses, lorsque l’on passe son temps à douter de sa « valeur » physique et de son image extérieure.  Je trouve que c’est d’autant plus difficile quand on est une femme, qu’on a conscience d’être constamment (trop) regardée, jugée, jaugée par ses proches, ses camarades, ses collègues, les autres femmes, les hommes … Alors que par nature, le corps d’une femme change plusieurs fois dans sa vie. Et par principe, homme ou femme, la vie et le temps laissent leur marque sur notre corps selon nos expériences de vie, mais aussi – même si cela est moins évident – nos pensées, nos croyances, nos comportements. Je comprends d’autant plus cette difficulté à aimer son corps que je l’ai vécue moi-même, et que je la vis encore par moments – c’est le travail de toute une vie😉. Notamment, je me suis toujours trouvée trop ronde. Indépendamment du chiffre sur la balance, même quand j’étais objectivement mince, je trouvais déjà que c’était trop. J’ai toujours détesté qu’on me félicite quand je perds du poids (sous-entendu : on n’ose rien dire quand j’en prends). J’ai été découragée toutes les fois où le problème s’est réactivé selon mes événements de vie (chaque stress laisse des traces). J’ai passé beaucoup trop de temps de cerveau à penser à ce que je peux/j’ai droit/je devrais manger, à me forcer à faire du sport (et à culpabiliser de ne pas tenir). Pourtant, mon corps c’est moi. Il est extraordinaire, il me permet de me lever tous les matins, de percevoir, de sentir, de faire. Il a donné vie à deux beaux enfants, il me permet de voyager, de toucher, d’aimer, de travailler comme une dingue, de dormir, de sourire, de vivre ! Il tombe, il se relève, il est malade, il guérit, il fonctionne sans que j’en aie conscience. J’ai encore (ré)appris cette année qu’il suffit de l’écouter plus attentivement pour qu’il dise ce dont il a besoin, alors que mon cerveau a tendance à se croire plus malin. Et oui, il est BEAU. Je l’ai décidé. Avec ses défauts, ses qualités, ses changements. Juste parce qu’il est moi. Pas besoin d’autre raison. En plus, j’ai intérêt à l’aimer beaucoup, car comme nous sommes liés à vie, cela risque de faire long 😊 C’est fou car en regardant les autres, je vois facilement la beauté de chacun, qui est bien plus qu’une apparence physique mais plutôt l’ensemble de tout ce que la personne dégage. Nous sommes souvent le juge le plus impitoyable de nous-mêmes. Alors qu’en vérité, nous sommes tous et toutes parfaitement imparfait(e)s. Là est notre vraie beauté. Alors pensez-y : aimez et acceptez votre corps, un peu chaque jour. La vie est tellement plus simple quand on arrête de lutter contre soi-même ! Photo @ Elise Akopcan Pour commencer à vous aimer, prenez votre premier RDV avec moi 🙂 #saintvalentin #couple #célibataire #coaching #lovecoaching #vieamoureuse #developpementpersonnel #femmes #puissance #amourdesoi #estimedesoi #confiance #etatdesprit #coachdevie #devperso #epanouissement #bienveillance #rencontre #emotions #coachingdevie #saimer #positivité #etreheureux #intelligenceemotionnelle #romantisme #vieheureuse #cgbb #caproteine #essecalumni

Faire passer des messages positifs sur l’amour -Chronique amour dans CCF le mag

Si vous me suivez depuis quelque temps, vous savez que j’aime m’amuser à débusquer les clichés, les idées reçues ou les mauvaises interprétations de l’imagerie romantique. Je m’en amuse, mais surtout cela me permet de communiquer un peu de recul, de légèreté et de joie sur le sujet. Car l’amour (et sa recherche) doit d’abord être source de joie ! Je le fais aussi car cela permet de mieux faire passer des messages. Pour aider plus de personnes à rendre leur vie amoureuse plus simple, plus en accord avec ce qu’ils sont, plus épanouissante. C’est sûr, l’amour et les relations amoureuses font toujours beaucoup parler. Chaque jour je découvre des livres, des vidéos, des podcasts, des « conseils » divers et variés sur les réseaux. Parfois pertinents et intéressants, parfois totalement incompétents pour ne pas dire affligeants voire révoltants … Mais souvent, je trouve qu’il s’en dégage un sentiment de désenchantement. Je pense alors à vous, et je me dis que si j’étais célibataire ou en couple mais sans m’y épanouir comme il y quelques années, je serais bien découragée. C’est pourquoi je saisis les opportunités qui se présentent d’exprimer une voix différente, de donner de la visibilité à une approche plus positive des relations amoureuses, du célibat, des sites de rencontre dans les médias, la presse ou les réseaux. Pour cela, je sors de ma zone de confort et je me challenge pour intervenir régulièrement et devenir meilleure dans cet exercice. Parce que si j’arrive à faire passer ces messages, je pourrais peut-être aider plus de personnes dans leur vie amoureuse, même celles qui ne viendront jamais en coaching. Et puis, j’avoue, je m’aperçois que j’ai pris goût à l’exercice. Même si je ne le fais pas parfaitement, loin de là, je sais que si j’arrive à faire passer ma passion pour mon sujet, le message sera entendu. Ce que je dis, non seulement j’y crois, mais je le teste et le vérifie chaque jour dans ma pratique ! C’est le cas pour cette chronique qu’ai commencé à faire pour CCF le mag , le magazine mensuel de C’est Ca la France – un nouveau média en ligne qui traite de divers sujets d’actualité et culturels. Je vous mets en lien la dernière émission, dans laquelle je parlais des langages de l’amour. Vous trouverez les émissions précédentes sur la page Youtube de CCF Media. Je suis toujours en fin de magazine – last but not least 😉

#viedecoach : à la recherche de l’inspiration perdue

Cela fait quelque temps que je ne vous ai pas raconté ma vie. Et pourtant, j’adore écrire, vous le savez. Je pourrais donner toutes sortes d’explications rationnelles : besoin de couper pendant l’été, puis une rentrée chargée sur le plan pro et perso, des projets passionnants mais chronophages, des doutes, des petits pépins de santé, etc. Mais en vérité, ce que je ne trouvais pas, c’est l’envie. En me mettant trop d’objectifs en tête, et en voulant trop partir sur le mode efficace, j’ai perdu de vue l’essentiel : j’écris avant tout quand cela me fait PLAISIR. Eh oui, j’ai beau savoir comment ça marche, j’ai beau bien me connaître, je suis comme tout le monde. Parfois, j’ai juste besoin de temps pour me recentrer, arrêter de me sentir bousculée, et reprendre confiance. Du temps pour retrouver l’envie. Très inconfortable pour moi, car la patience -surtout envers moi-même – n’est pas ma qualité principale ? Alors, j’ai recommencé à la base : m’écouter. Et je me suis rendu compte que ce qui me bloque, c’est de m’astreindre à trop de régularité. Clin d’œil à Stéphanie Dedisse (décoratrice hypersensible comme elle se décrit si bien, allez voir son site www.perfecthouse.fr) : je crois que je suis comme toi, je n’aime pas les routines? Mais je viens de m’apercevoir que je continue de temps en temps à vouloir m’en imposer ! Comme quoi, le travail sur soi n’est jamais fini … et c’est tant mieux. Et comme par magie : l’envie est revenue ce matin. (« And just like that » … Vous avez la ref ?) Alors, j’en profite? Pour en profiter aussi et me suivre au quotidien, abonnez-vous aussi à mon compte Insta @helenefrebault Crédit photo @Marine Lécroart  

#viedecoach : profiter des temps de pause

Je poste un peu moins ces derniers temps sur les réseaux sociaux, mais cela ne veut pas dire que je ne fais rien ! Comme beaucoup d’entre nous je pense, j’ai davantage envie en ce moment de passer du temps avec mes proches, mes amis, mes cercles de networking, bref, de partager « en vrai » avec des gens dont j’apprécie la compagnie. J’éprouve aussi le besoin de me ressourcer, de repos, ou de faire des activités qui ne sont pas a priori « utiles », mais néanmoins importantes pour moi car elles nourrissent mon énergie positive. C’est aussi ce que je conseille aux personnes que j’accompagne. Pour cultiver durablement sa propre recette du bonheur, un bon équilibre est nécessaire entre les temps de créativité, les temps pour exercer ses talents, les temps pour s’occuper des autres, les temps pour soi et les temps de pause. Mais comme beaucoup, j’ai aussi parfois tendance à oublier ces derniers, d’autant que je suis seule à décider de mon emploi du temps de travail comme de loisirs, et que mon métier me passionne? Pourtant, je sais bien que les moments de pause sont loin d’être des moments de vide ou de rien. C’est la respiration, le silence qui me permet de rafraîchir mes idées, de lâcher prise sur ma to do list, de m’écouter. Pensez, vous aussi, à faire un pas de côté de temps en temps, à profiter des personnes autour de vous, à vous amuser, à vous reposer. Et à vous octroyer de grands moments de plaisir, comme je l’ai fait ce weekend en retournant à Roland Garros avec mes deux ados et mon neveu pour profiter ensemble d’une journée exceptionnelle ! Tout comme l’amour, ce n’est jamais urgent, mais c’est toujours très important. Et vous, de quoi avez-vous envie en ce moment ? Et si vous profitiez de la pause estivale pour faire avancer votre vie amoureuse ? Vous êtes une femme célibataire, vous avez tout pour plaire mais ne savez pas comment faire la bonne rencontre ? Je refais une session de mon atelier collectif d’une journée « tout pour plaire » le dimanche 3 juillet ! Pour en savoir plus et vous inscrire, suivez le lien ci dessous? :

#viedecoach-Qu’est-ce qui est « gênant » : le regard des autres, ou le regard sur soi ?

Le weekend dernier, j’ai profité de 3 jours de vacances à Deauville pour passer du temps avec ma fille de 14 ans. En faisant une promenade sur les planches pleines de monde, je lui demande de me prendre en photo. Je ne peux pas m’empêcher de prendre la pose. Autant s’amuser et jouer le jeu à fond – c’est l’esprit Deauville, tout de même ! Mais ma fille fait la moue et me trouve « gênante ». Pareil lorsque nous assistons un peu plus tard à un concert avec ma mère et que, comme demandé par l’artiste (Joseph Chedid), je tape des mains, je danse et je chante en chœur. Alors que mon ado, qui est d’habitude la première à chanter à tue-tête dans sa chambre et à sauter partout, reste muette et immobile à côté de moi. Etonnant tout de même cette notion de « gênant ». Heureusement pour moi, j’ai évolué depuis l’ado timide que j’étais, et je me fiche un peu plus du regard des autres à mon âge. Si j’ai envie de m’amuser, je ne vais pas m’en priver sachant que le ridicule ne tue pas – et vous remarquerez même qu’il n’effleure même pas ceux qui osent s’assumer sans complexes. Mais vrai dire, en y réfléchissant, j’assume bien les situations qui me sont devenues familières avec l’expérience : parler en public, entamer une conversation avec des inconnus ou … Chanter à un concert. Tout ce que ma fille semble redouter. Bien sûr, il y a encore des situations qui me gênent. Me filmer en face caméra, par exemple. Je n’ai pas l’habitude de le faire, donc je me trouve maladroite et hésitante. Amusant car ma fille, elle, fait des vidéos avec son téléphone le plus naturellement du monde pour les poster sur ses réseaux sociaux, sans se demander une seconde si ce serait « gênant ». Qu’est-ce qui est « gênant », finalement ? Est-ce vraiment le regard des autres (en tout cas, l’idée qu’on s’en fait), ou le regard que l’on porte sur soi quand on ne se sent pas compétent/ pas à sa place « naturelle » ? Et être « naturel », c’est quoi, si ce n’est faire sans y réfléchir une action qu’on a déjà faite de nombreuses fois ? Deux conclusions pour moi : *On attache beaucoup trop d’importance au regard des autres à l’adolescence, dans notre désir de faire partie du groupe et de nous conformer (et a contrario de nous démarquer des parents, qui sont donc forcément « gênants») *Quand on ose faire des choses qui ne nous sont pas familières, on se rend souvent compte que le bénéfice d’avoir osé en termes de confiance en soi et de plaisir est bien supérieur au risque de « gênance ». Et puis, si on répète l’action plus souvent (avec succès ou non), on finit par trouver cela plus naturel. Donc : OSONS faire des choses nouvelles, osons faire des choses « gênantes » si ça nous fait plaisir, arrêtons de nous juger nous-mêmes et assumons même si c’est raté ! Si quelqu’un à quelque chose de désobligeant à dire, c’est surtout sa propre gêne qu’il exprime. P.S : pour l’anecdote, le fait que ma mère ait chanté et dansé aussi ne gênait pas ma fille le moins du monde. Donc avec un peu de chance, je serai moins « gênante » dans quelques années?. Vous voulez oser et changer votre vie amoureuse ? Sortez de votre zone de confort et venez faire votre première séance individuelle de coaching avec moi pour dégager vos premières pistes d’action, ou participez à mon prochain atelier collectif « tout pour plaire » :

#viedecoach : rencontres et mission spéciale au Festival du Livre de Paris

Je passe mon temps à vous dire d’oser aller vers l’autre pour vous créer des opportunités de rencontre, et je sais que ce n’est pas si simple. Mais la compétence et la confiance pour le faire s’acquièrent avec la pratique. Ce n’est jamais du temps perdu, car il y a fort à parier qu’elles ne vous serviront pas que dans votre vie amoureuse. Je continue à me challenger régulièrement pour entretenir cette compétence : observer quand j’arrive dans un endroit où je ne connais personne, aborder quelqu’un, poser une question, demander un service, etc. et engager une conversation agréable. Le petit trac qui précède le moment où je vais passer à l’action est toujours là, mais mon référentiel est aussi très positif dans cet exercice. Car je sais qu’au pire, j’aurai boosté ma confiance rien que dans le fait de savoir que j’en suis capable, et au mieux, cela me permettra de me créer des opportunités inattendues. C’est donc dans cet état d’esprit que je suis allée par deux fois visiter le Festival du Livre de Paris ce weekend. Pour la lectrice assidue que je suis, voici un endroit qui ressemble au paradis : une librairie géante, qui plus est peuplée d’écrivains, d’éditeurs et de célébrités en visite ! Cette année, non seulement j’ai pu rencontrer l’un de mes auteurs préférés – David Foenkinos sur la photo ci-dessus – ainsi que des personnalités politiques, mais j’étais aussi partie en mission spéciale : parler avec des éditeurs en développement personnel (ou plutôt, des éditrices le plus souvent) de mon projet d’ouvrage. C’était l’occasion pour moi de repérer la bonne personne – pas facile au milieu des visiteurs et des libraires – et de tester mon « pitch » pour susciter l’intérêt sur mon sujet. Dire que j’étais totalement à l’aise et que mon syndrome d’imposture n’a pas pointé le bout de son nez serait mentir. Mais je l’ai fait ! Et j’ai pu constater avec plaisir que mes interlocutrices faisaient preuve de disponibilité et d’intérêt. Que cette démarche au Festival du Livre donne un résultat n’a pas tant d’importance, finalement, car j’ai confiance que je finirai par trouver la bonne opportunité pour mon projet. Faites de même pour votre vie amoureuse : osez ! Vous prendrez déjà confiance dans le fait d’en être capable, et vous aurez envie de le refaire. Surtout quand vous verrez que vous y prenez plaisir, et que vous avancez bien plus qu’en vous posant mille questions 😉 Mais quel est donc ce fameux projet de livre ? Je vous en partage ici la couverture et le titre provisoires. Et si vous connaissez un éditeur ou une éditrice qui aurait envie d’en savoir plus, faites-moi signe 😉

#viedecoach : rencontres inspirantes et speed dating au salon Go Entrepreneurs

Quand je suis devenue coach de vie amoureuse, je me suis assez vite rendu compte que je ne passerai pas tout mon temps sur mon coeur de métier – le coaching individuel et collectif – mais que j’allais aussi avoir beaucoup à apprendre sur la partie immergée de l’iceberg : l’entrepreneuriat. Dans cette aventure, j’ai aussi découvert que si je n’avais plus de collègues ni de hiérarchie, j’avais à ma portée tout un univers d’autres entrepreneurs avec lesquels partager mes défis et mes apprentissages, et retrouver les bienfaits de l’intelligence collective au lieu de cogiter seule dans mon coin. Une expérience qui m’a toujours beaucoup appris dans mes différents métiers a été celle des salons et événements professionnels. Expérience qui a beaucoup manqué avec la pandémie ! J’ai retrouvé avec un véritable plaisir cette ambiance au salon des jeunes entrepreneurs Go Entrepreneurs la semaine dernière. D’abord pour les conférences inspirantes, les histoires d’entrepreneuriats, qui sont souvent étroitement liées au parcours de vie de leurs fondateurs – et vous savez à quel point j’adore les belles histoires 🙂 Si cela vous intéresse aussi, vous pouvez retrouver les replays sur: https://event.go-entrepreneurs.com/paris2022/content/replay?utm_campaign=siteweb_CTA Mais ce salon était aussi l’occasion de rencontrer « en vrai » d’autres entrepreneurs débutants ou confirmés, capter l’ambiance, les tendances, notamment en me prêtant à un exercice qui n’est pas sans rapport avec mon cœur de métier : le speed dating 😉 Comment faire bonne impression et marquer les esprits en 3 minutes chrono, mais aussi retenir le message de l’autre ? En enchaînant l’exercice pendant plus d’1h30, je retiens 5 éléments clés : 1/ Ecouter attentivement et capter les messages non verbaux (ce qui n’est pas simple dans un environnement bondé et bruyant) 2/ Varier le discours selon son interlocuteur et l’envie du moment 3/ S’entraîner (eh oui, plus on le fait, plus on est à l’aise) 4/ Ne pas hésiter essayer des choses, à être original et à s’amuser ! 5/ Arrêter quand on sent que l’on commence à « enchaîner » sans plaisir, et y revenir plus tard 😉 Une rencontre professionnelle n’est pas si différente d’une rencontre amicale ou amoureuse, en fait. Pour qu’elle donne une suite, il faut avant tout que le feeling passe, de personne à personne, au-delà du cadre très strict d’un speed dating, ou de la grille de critères/compétences. La bonne nouvelle, c’est que créer les bonnes conditions pour que l’émotion passe, cela s’apprend 😉 Pour me suivre au quotidien, vous pouvez aussi vous abonner à mon compte Instagram :

#viedecoach – 4 Avril : un jour particulier pour moi

Aujourd’hui, est un jour un peu particulier pour moi : c’est mon anniversaire. Oui, je suis une fille du printemps, ma saison préférée, celle du renouveau et du changement. C’est la période de l’année où j’ai l’impression de retrouver toute mon énergie, et je me demande chaque année à quoi je vais l’employer ! C’est aussi l’occasion de me représenter à vous en quelques dates, et de revenir sur le parcours personnel qui m’a amenée à vous accompagner aujourd’hui dans votre vie amoureuse. A 7 ans, je suis une bonne élève un peu timide, mais j’ai déjà un caractère joyeux et optimiste. Pour moi, l’école c’est le plaisir d’apprendre et de retrouver mes copines pour inventer des histoires à longueur de récréation. J’hésite déjà beaucoup sur ma vocation future, mais le plus souvent, je rêve d’être écrivain ou joaillière. A 17 ans, je m’apprête à passer mon bac et à entrer en classe préparatoire aux écoles de commerce. Je ne sais pas très bien ce que je veux faire de ma vie, mais je me dis que c’est suffisamment généraliste pour que je puisse choisir plus tard, que cela m’ouvrira des portes et, notamment, que je pourrai partir à l’étranger. A 27 ans, je suis à Londres dans la salle des marchés d’une grande banque américaine, une expérience très enrichissante qui me permet de parler chaque jour avec des collègues du monde entier. Mais déjà, je me sens sur un rail qui ne me correspond pas et me prend toute mon énergie. Je suis en couple depuis plusieurs années, mais je me dis que je ne pourrai jamais construire une famille en travaillant 12h par jour pour un job qui commence à perdre son sens pour moi. A 37 ans, c’est l’anniversaire le plus triste de ma vie. D’ailleurs, j’ai très peu de photos de moi à cette période. La décennie qui vient de passer a été pour moi une série de choix complexes et de bouleversements : mariage, 1er changement de métier, 1er enfant, expatriation pour suivi de conjoint en Suisse, 2e enfant, vie de femme d’expat au foyer pendant 5 ans qui ne me convient pas du tout, et pour finir un couple qui bat sérieusement de l’aile dans lequel j’étouffe lentement mais sûrement. Je sais, la mort dans l’âme, que mon mariage est en train de se terminer. Quelques mois plus tard, je rentrerai en France en plein divorce, avec mes deux enfants, un trou de 5 ans dans ma raquette professionnelle, et une confiance en moi au-dessous du niveau de la mer. Aujourd’hui, à 47 ans, j’exerce le métier que j’ai créé pour moi-même et qui me met en joie, j’ai deux ados pleins d’énergie, un nouveau conjoint depuis plusieurs années avec lequel je vis au quotidien une relation épanouissante et joyeuse, et le sentiment d’être responsable de ma vie. Bien sûr, la vie nous apporte toujours son lot de joies et de soucis, de réussites et de doutes, mais je me sens résiliente, je me sens aimée, je me sens utile. En vérité, je ne me suis jamais sentie autant moi-même, et je ne laisserai ma place pour rien au monde ! Alors aujourd’hui, je suis heureuse d’entamer une nouvelle année, et curieuse de voir ce que la suite me réserve … En attendant, c’est moi qui vous réserve quelques surprises pour ce mois d’Avril ?

#viedecoach : quel est le dresscode attendu pour une coach de vie amoureuse ?

Quel est le dresscode attendu pour une coach de vie amoureuse ? Je me suis fait cette réflexion ce matin (24 février 2022), alors que je participais au tournage d’une émission pour un nouveau média en création (je vous en dis plus bientôt ?). Me voilà autour de la table avec une journaliste en petite robe et talons, une charmante blogueuse gastronomie et voyages habillée d’une robe à motifs japonais, un musicien en blouson de cuir, et un couple de danseurs en tenue originale et décontractée. Venue du monde de l’entreprise, je me suis longtemps conformée au dresscode business. Néanmoins, j’ai toujours été tentée de sortir un peu des cases. En y réfléchissant, je me demande même si je n’ai pas toujours trouvé un malin plaisir à être décalée à chaque place que j’ai occupée. Quand j’étais dans la banque d’investissement, j’étais l’intellectuelle de la salle des marchés. Quand j’ai travaillé dans l’édition, j’étais la commerciale du monde du livre. Et quand j’étais consultante en accompagnement du changement et relations humaines, je pouvais me permettre, étant en dehors de la pyramide hiérarchique de mes clients, d’ajouter une touche de fantaisie au look business de rigueur. Eh oui, car le message subliminal était d’être compétente et crédible, tout en étant sympathique et à l’écoute ! Finalement, maintenant que j’ai créé ma propre case et que mon métier est assez original en soi, je peux m’habiller comme je veux, jouer de toutes mes facettes et m’adapter à mon humeur comme à la situation. Surtout, ne pas chercher à être parfaite, mais à être moi-même. Ce matin autour de cette table, j’étais tout simplement en jean et pull clair. Mais pour le plaisir, je vous montre sur cette photo la facette business /parisienne chic – et le décor Comédie Française qui va bien – tout en gardant l’espièglerie de la coach de vie amoureuse dans mon regard ! Au passage, vous voyez qu’on peut en dire, des choses, avec une simple photo ? Pour en savoir encore plus sur moi : Crédit photo : Marine Lécroart #mampreneur #independante #confiance #lovecoach #lovecoaching #etatdesprit #coachdevie #devperso #epanouissement #bienveillance #emotions #optimisme #psychologiepositive #estimedesoi #coachingdevie #amoureux #célibataire #saimer #positivité #etreheureux #intelligenceemotionnelle #cgbb #mamabears #essecalumni #caproteine